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Je vous propose une mise en lumière de vos résistances pour vous aider à vous libérer de vos tensions et de vos blocages émotionnels


Médium et Sophrologue spécialisée dans l'accompagnement du deuil, je vous guide avec douceur et bienveillance à l'écoute de vos émotions, de vos pensées et de vos ressentis corporels.

Qui suis-je ?

Les séances

Guidance
Energétique 

Une Guidance est un regard éclairant sur soi, une véritable connexion énergétique, une "lecture d'âme" qui vous apporte une prise de recul sur votre problématique, un apaisement sur votre état présent.

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Séance Médiumnique

Une séance médiumnique est un moment unique de partage, une vibration du cœur, un message d'amour de vos défunts pour vous guider sur votre chemin de vie, à travers l'expérience douloureuse du deuil.

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Sophro 
Synergie

Sophro Synergie est un accompagnement du deuil qui allie Sophrologie et Guidance énergétique pour vous aider à retrouver un équilibre entre vos émotions, vos pensées et votre corps. 

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Les Ateliers

"Accueillir sa Médiumnité"

La Médiumnité sommeille en chacun de nous. Elle se révèle parfois chez certain(e)s dès leurs plus jeunes âges, alors que d'autres la découvre à l'âge adulte. 

Lors des séances, certain(es) me font part de leurs doutes, de leurs désarrois quant à la manière d'appréhender cet "éveil des sens" et à la façon d'interpréter leurs ressentis.

Pour vous aider à lever le voile sur vos doutes et vos interrogations, je vous propose un atelier, à la découverte de votre Médiumnité.

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"Appréhender le deuil"

Nous sommes tous confrontés à un moment de notre vie à la perte d'un être cher. Lorsqu'il survient, c'est notre fondation qui vacille, parfois même qui s'effondre. 

Nos systèmes de croyances, nos certitudes sont alors remises en question et nous sommes assaillis par des pensées et des émotions qui nous dépassent. 

Pour vous aider à appréhender ces étapes, nous vous proposons d'entrevoir ensemble un regard différent sur ce long processus de deuil.

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par Sonia Valognes 24 févr., 2024
Le deuil est un processus allié de transformation intérieure, propre à chacun, naturel et inconscient, Il sollicite beaucoup d’énergie pour « panser cette plaie du cœur et du corps » car c’est le deuil de l’autre et d’une partie de soi qui ne reviendra jamais. Ce processus évolutif est un long chemin parsemé d’étapes qui nous permet d’apprendre à composer avec l’absence physique, d’apprivoiser tant bien que mal la souffrance causée par la perte, avant de pouvoir transformer le lien qui nous relie toujours à l'être aimé pour enfin reprendre le cours de sa vie. Les étapes : La sidération, le choc : Le choc de la mort d’un être cher vous projette dans le chaos. Tout d’un coup votre vie bascule, c’est l’effondrement C’est un processus de protection naturelle qui se met en place afin de maintenir cet évènement à distance, souvent pendant des mois. C’est une véritable anesthésie émotionnelle car on avance en pilote automatique, déconnectée de ses émotions. Le rituel funéraire a une part très importante dans cette étape car il signifie, entre autres, le changement de relation avec la personne décédée. La fuite, le déni : On sait que la personne est décédée mais on fuit la vague de submersion. On est dans le déni et on fait tout pour détourner l’attention de sa souffrance en étant toujours en mouvement, en agitation. Il se met en place une phase de recherche de la personne à tout prix dans le monde physique, soit en installant partout des photos, en lui parlant tout le temps, en touchant ses vêtements, en sentant son parfum, en cherchant son odeur. On parle de la personne en boucle, on se remémore à l’oral ses goûts, ses habitudes. On cite son prénom pour continuer le lien avec elle. Passer d’une relation sensorielle à une relation qui n’est plus sensoriellement déterminée (ne plus se voir, se toucher, se regarder, se sentir). Cette phase n’est pas pathologique, elle est normale et fait partie du processus de deuil. Il survient alors très souvent l’apparition des signes nommés VSCD (vécus subjectifs de contacts avec un défunt). La déstructuration, la colère : La personne fait face au manque de preuves matérielles de l’absent. Plus assez de lui à l’extérieur et pas assez de lui à l’intérieur. Les personnes de l’entourage appellent moins. On ne s’autorise pas à exprimer sa souffrance auprès des autres car le temps est passé. On est là mais on n’est pas là. La confrontation avec les faits et la réalité engendre un sentiment de colère, ainsi que de nombreuses autres émotions, comme la culpabilité, les remords, le dégoût, ou la répulsion. C’est également une phase de marchandage où l’on désire remonter dans le temps pour changer ses actions et inverser la situation. C’est un vécu dépressif qui peut durer environ 2 ans mais ce n’est pas une dépression. Ce sont des vagues émotionnelles « je vais mieux, je vais moins bien » Il est primordial pendant cette phase de prendre soin de soi : remplacer le « je n’ai pas envie » par « je n’ai pas envie mais c’est nécessaire pour moi ». Le deuil rend également plus fragile un terrain pré existant, d’où l’importance d’accepter l’aide extérieur quand cela est nécessaire. De la tristesse à la résignation : La période la plus douloureuse, après le premier anniversaire, on a l’impression qu’on ne s’en sortira jamais. On fait croire que ça va alors que notre intérieur est dévasté. On a peur de l’oublier, peur de devenir fou tellement l’absence et le manque sont là et nous font mal. On perd alors tout espoir et on finit par se résigner car le temps commence à faire son œuvre, on entre doucement sur le chemin de l’acceptation. De l'acceptation à la restructuration : Au fil du temps, on apprend à se redéfinir soi par rapports aux autres. On peut continuer à vivre sans culpabiliser et on peut aimer à nouveau, différemment mais plus en paix avec soi et avec le monde. On redéfinit la relation avec l’absent. "Qui suis-je désormais ?". On passe d’une relation objective à une relation subjective, on crée une autre nature de relation. On se dit « tiens aujourd’hui je n’ai pas pleuré, je ne l’ai pas cherché partout ». On est plus en paix avec l'absent. On aborde alors une vision plus spirituelle : "qui suis-je devenu par le fait de t’avoir connu, aimé ?", "cette épreuve m’a transformé, mais de quelle façon ?". On peut enfin garder un lien approprié avec l’être aimé et réinvestir le monde. L’accompagnement : Tout au long de ces étapes, il est crucial de prendre soin de soi. Il peut exister, pour certaines conditions de la mort de la personne (brutale), des syndromes de stress post traumatiques reconnaissables par des images intrusives ou des cauchemars à répétition, une hyper vigilance dans le temps, un évitement plus ou moins conscient de tout ce qui me relie à l’événement initial de la mort de la personne. Verbaliser le récit du deuil fait également partie du processus et tous ces échanges ont pour but de libérer la charge émotionnelle. Ainsi, au lieu de la perdre, on se réapproprie l’être aimé doucement : -L’histoire de vie : « Qui as-tu perdu ? », « Parle-moi de cette personne, de la relation que tu avais avec elle ». -Le récit : « racontes moi l’accompagnement, les circonstances du décès, de l’événement jusqu’à l’arrivée des secours et jusqu’aux obsèques ». -Le quotidien : « Où en es-tu ? » (Sommeil, thérapies, sport…), « ton entourage social ?» (Les alliés), « tes émotions ? » (Peurs, reprise du travail, culpabilité, colère, idées noires,...), « Et sur le plan matériel ? spirituel ? » (Le sens des choses). Associé à la souffrance, le récit est aussi considéré comme un processus nécessaire de délivrance. et u n cheminement intérieur se fait alors, nommé résilience. Que la perte d’un être cher soit récente ou pas, il n’est jamais trop tard pour se faire aider si l'on en ressent le besoin tout en considérant le fait que rien n’est définitif car tout évolue en permanence et que chaque chemin est différent. La traversée du deuil va nous permettre de transformer le lien d’amour qui nous unit à l’être cher, au-delà du lien physique. Il n’y a pas d’échelle de valeur dans la souffrance et quelle que soit le deuil vécu et ressenti, c’est une perte de repère qui mérite écoute et douceur .
par Sonia Valognes 01 janv., 2024
Lorsque la mort d’un enfant survient au sein d’une famille, c’est toute la fondation intra-familiale qui vacille et qui parfois s’effondre. En tant que sœur, je souhaite apporter ici un regard propre à mon expérience sur les répercutions que ce drame peut engendrer sur la fratrie, lorsque la communication est absente. En aucun cas il ne s’agit ici de condamner la façon dont certains parents réagissent face à ce drame. Il s’agit avant tout de partager ma propre expérience en espérant que quelque part, une sœur, un frère se reconnaitra et trouvera ici un réconfort en constatant que sa souffrance est, ou a été partagée par d’autres. Mon expérience J’avais 9 ans quand ma sœur est décédée à l’âge de 11 ans, de ce que l’on nomme une « mort subite ». Habituellement réservée aux nourrissons, cette mort inexpliquée, sans antécédent, arrive aussi aux enfants tout comme aux adultes. Ma sœur ainée était mon modèle, mon protecteur, mon phare. Jamais l’une sans l’autre. Notre mère nous habillait de façon identique, même coupe de cheveux, à elle la couleur rouge, à moi le bleu. Nous dormions dans la même chambre, nous étions inséparables. Le silence, ce mot résume à lui seul le deuil tel que je l’ai traversé en tant que sœur car a ucun mot, aucune explication ne me sera donné le soir de sa mort. Nous sommes partis chez des amis en voiture à 4, mes parents, ma sœur, moi et nous sommes revenus à 3. Je ne comprends alors pas pourquoi elle ne rentre pas avec nous mais je ne dis rien car je ressens la gravité de la situation. Les visages figés de mes parents, la sidération prend place et me pousse au silence, au mutisme. Ce soir-là, j’ai dormi seule dans la chambre d’enfant que nous partagions ma sœur et moi la veille encore. Je garde en mémoire le silence effrayant, attentive au moindre bruit et cette peur, cette frayeur nocturne sera présente pendant de nombreuses années. Alors oui, comment expliquer à une enfant de 9 ans que sa sœur ne rentrera pas ce soir, ni les autres soirs ? Ainsi du vendredi soir jusqu’au dimanche je ne recevrai pas un mot, pas une explication sur son absence. Où est-elle ? Et pourtant je sais au fond de moi que c’est grave, car ce que mes parents ignorent, c’est que ce soir-là j’ai surpris ma mère en état de choc, assise prostrée, la tête entre les mains et j’ai compris du haut de mes 9 ans que quelque chose de terrible venait de se produire. 2 jours après le drame, toujours sans un mot, mes parents m’ont laissé chez des amis dont les enfants alors présents utilisent le mot « mort » en parlant de ma sœur, ce qui me projette dans un état second, comme dédoublée, en état de choc. J’entends mais je ne réalise pas, et surtout, j’attends que mes parents me donnent leur explication. Mes parents enfin arrivés, mon père prononce ces mots : « elle était très malade ». Je sais que ce n’est pas vrai, que ma sœur n’était pas malade et que mon père me ment. Je pleure sur ce mensonge et une colère sourde en moi va naître et me « tenir au chaud » pendant des années. Le mot « mort » ne sera jamais prononcé dans la bouche de mes parents et cela aura des conséquences importantes dans ma construction d’adulte et dans mon parcours. Le lendemain, je retourne à l’école seule, comme si rien ne s’était passé et je dois faire face aux questions des autres enfants. Les questions affluent « ta sœur est morte ? », « qu’est-ce qui s’est passé ? ». Comment répondre, alors que je ne sais pas ? que l’on ne me dit rien ? Mes parents finiront par me déscolariser pendant quelques temps. A la maison, pas de pleurs, aucune émotion exprimées…le silence, toujours le silence. Pensant bien faire, mes parents décident très rapidement de vider notre chambre des affaires de ma sœur, d’échanger même notre chambre avec la leur. Tout va très vite et le vide s’installe en moi, aussi froid que le silence et la solitude qui à partir de cet instant feront partie de ma vie. Ma sœur et moi nous étions comme un couple et plus personne ne pourra occuper cette place vide car mon inconscient l’attend toujours. Mon père a vécu le départ de ma sœur avec le refus catégorique d’exprimer et de laisser quiconque exprimer ses émotions. Famille, amis, personne n’avait le droit d’exprimer sa tristesse, son chagrin et pleurer était tout simplement interdit. Cette mort tragique a été un choc terrible pour tous. L’incompréhension murée dans le silence a créé des dommages psychologiques et collatéraux qui sont perceptibles encore maintenant dans la vie de chacun car si elle était ma sœur, elle était aussi pour d’autres la petite-fille, la nièce, l’amie, l’élève. Le processus de deuil Je n’ai réellement commencé le processus du deuil de ma sœur que 29 ans après sa mort, lorsque j’ai atteint l’âge que mes parents avaient au moment de son départ, c’est-à-dire 38 ans. C’est mon corps qui est venu somatiser ce traumatisme enfoui sous la forme d’un AVC (Accident Vasculaire Cérébral). Cet évènement déclencheur est venu réveiller brutalement en moi le besoin vitale de parler, de savoir, de questionner, de remuer un passé douloureux rester trop longtemps sous silence. J’ai réclamé, j’ai enfin osé faire entendre ma voix. Je me suis procuré une copie du rapport d’autopsie que j’ai lu et relu pour tenter de comprendre l’inacceptable. Il me fallait des faits, des détails, aussi douloureux que cela pouvait être pour mes proches ou pour moi. Faire entendre ma voix a été pour moi le début d’un long chemin de guérison intérieur. Ce processus m’a permis de prendre conscience des conséquences, de l’impact dans ma vie, dans ma relation aux autres mais aussi et surtout de ma force et de ma résilience car le processus du deuil permet aussi cela. C’est la raison pour laquelle il est important pour moi de partager mon expérience avec ceux qui sont dans la souffrance. C’est un message d’espoir que je souhaite transmettre car oui, ce chemin est long et douloureux mais il est aussi celui qui nous permet de nous révéler à nous-mêmes. Les conséquences Les schémas et les conséquences qui en découlent sont nombreux. Pendant longtemps mon inconscient a cherché à reproduire le rapport fusionnel que j’entretenais avec ma sœur. Les rapports amicaux et amoureux ont longtemps été imprégnés par la peur de perdre l’autre, ce qui se traduisait de façon inconsciente par une dépendance affective, un rejet de l'autre et une insécurité permanente. Le mot « mort » n’ayant jamais été prononcé, mon inconscient a longtemps attendu le retour de ma sœur, ce qui se traduisait par une instabilité chronique, un manque d’ancrage dans la vie, une souffrance inconsciente à vivre et à avancer « sans elle ». Il est heureusement possible de se libérer de cette part inconsciente, de ces peurs et de ces schémas. C’est après un long travail intérieur lié à la mort prématurée de ma sœur mais aussi à d’autres deuils qui ont suivis que cela m’a permis de mettre en lumière ces parts d’ombres pour avancer avec plus de sérénité. Faire face à ses émotions, les exprimer, les accepter mais aussi accepter celles des autres est primordial, car contrairement aux idées reçues et transmises lorsque j’étais enfant, je sais désormais la nécessité vitale de pouvoir les exprimer. Et maintenant ? Par-dessus tout, j’encouragerais les parents à permettre à leurs enfants de verbaliser, de communiquer leurs souffrances, leurs ressentis et s’ils sont dans l’incapacité émotionnelle de le faire eux-mêmes, alors faire intervenir un professionnel. Le silence, les non-dits sont un poison qui peut s’avérer parfois mortel. L’âme blessée fige dans le corps physique des stigmates et dans la psyché des mécanismes d’auto-sabotage que nous ne soupçonnons même pas. L’enfant que j’étais aurait eu besoin d’entendre « non, tu n’es pas responsable de la mort de ta sœur », « oui, nous savons que tu souffres autant que nous », « dis-nous ce que tu ressens », « nous allons avancer pas à pas et nous serons toujours là pour toi ». Libérer sa parole c’est aussi et avant tout aussi libérer celles de nos enfants car si je m’épanoui, mon enfant aussi. Si je souffre mon enfant aussi. Alors, que choisissons-nous ?
par Sonia Valognes 20 nov., 2023
Le deuil ébranle notre fondation, nos structures internes telles que notre corps, nos émotions, nos pensées. En début de deuil le corps somatise beaucoup car l'intensité du choc vécu provoque une séparation entre le mental et les émotions. C’est à ce moment que l’on peut ressentir une baisse d’énergie qui va se manifester par des troubles du sommeil, des tensions physiques, un état émotionnel exacerbé. La Sophrologie va offrir à la personne endeuillée la possibilité de se reconnecter à soi, de se relier à son corps, à ses sensations. En favorisant ainsi l’écoute de ses émotions, de ses ressentis, en permettant à son corps de se détendre, de se relâcher, la personne va percevoir progressivement ses changements d’état intérieur. Cet espace va lui permettre progressivement de prendre conscience de ses propres ressources, de les mobiliser, et ainsi de pouvoir intégrer la perte de l’être cher. En se remettant ainsi en mouvement, la personne va, pas à pas, réinvestir sa vie et avancer avec plus de sérénité vers la résilience. Pour cela, la sophrologie se base sur des exercices accessibles à tous, tels que des : • Relaxations corporelles, qui ont pour but de relâcher vos tensions physiques et mentales, de vous ancrer, de vous réaxer. • Visualisations, qui permettent de stimuler votre potentiel en portant votre attention sur les perceptions internes et externes de vos sens. • Techniques de respiration, le souffle étant un des éléments clés du processus de relaxation et de reconnexion intérieure. Ces exercices sont conceptualisés sur 3 temporalités qui sont le passé, le présent et le futur : -Le passé vous amène à porter un regard différent sur la relation que vous aviez avec le proche disparu, ce que cette personne représentait pour vous, ses qualités, ses défauts. -Le présent vous permet de prendre conscience de quelle façon cette relation a pu vous changer, ce qu’elle vous a apporté. Vous apprenez à être à l’écoute de vos ressentis émotionnels et physiques. -La futurisation vous projette dans une visualisation positive de votre état. C’est une conquête de vous-même pour une transformation vers un nouvel équilibre, une stabilité retrouvée, une confiance en soi et en la vie. Vous pouvez aussi entrevoir le changement de la relation avec votre proche disparu. La Sophrologie vous apporte une prise de recul sur votre état en observant vos émotions, vos ressentis physiques pour enfin retrouver un équilibre intérieur et vous permettre d'établir un nouveau rapport avec vous-même mais aussi avec le monde extérieur.
par Sonia Valognes 23 mars, 2023
Selon le physicien Philipe Guillemant, en physique, le temps n’existe pas car il est lié à la conscience. Il faut considérer le temps comme de l'espace, comme une spatialisation que nous entretenons, qui nous maintiens dans l’illusion car s i le temps n’existe pas, c’est que le futur est déjà créé. Il est admis en physique qu’il n’y a pas de frontière et que donc le futur et le passé n’existe pas. On considère que le futur existe déjà mais partiellement configuré, avec des variantes et donc à tout moment le futur peut évoluer. Il existe des multivers qui vont créer des myriades « d’univers bulles ». Nous vivons dans un univers figé mais l’idée du libre-arbitre est admise avec une notion évolutive, c omme un GPS avec la possibilité de changer la destination ou de ne pas suivre le chemin indiqué et donc l’univers serait obligé de recalculer notre parcours. L’intuition quant à elle arrive dans le cerveau alors que la synchronicité arrive dans la réalité car nous vivons dans un temps linéaire. Pour que les synchronicités se déclenchent il faut être dans une période de changement dans sa vie car la synchronicité se produit uniquement par le changement. On donne de l’énergie dans le futur et donc de la densité de probabilité de présence (en physique : d’une particule) d’un événement potentiel. Plus on a la conscience qu’on va aller vers une probabilité d’archétype, plus on la crée mais pour cela il faut qu’il y ait un changement de trajectoire, un petit rien comme « l’effet papillon ». Le vide n’existe pas en tant qu’espace mais en tant que conscience car le futur étant une multitude de potentialités excitées par notre conscience. L’espace n’est que la somme de toutes nos consciences individuelles qui vibre. Il n’existe pas de contenant mais uniquement la somme de contenus de nos consciences : les relations entre les objets, les personnes. Cet espace vibratoire entre les contenus créé le sous-bassement de l’espace-temps. Ce que l’on nomme le vide est un sous-bassement vibratoire qui est fait de conscience. Notre conscience a un aspect mental qui crée l’espace et un aspect émotionnel qui crée les vibrations (pas gravitationnelle mais hors du temps). Les émotions peuvent contenir énormément d’informations. Comme une musique dont chaque note émet une vibration différente qui impacte la conscience collective et l a conscience est capable de ressentir cela. On croit que le cerveau génère tout mais cela n’a jamais été prouvé, les scientifiques appellent cela « la pensée magique ». Les scientifiques pensent que les sensations sont créées par le cerveau. La conscience sans cerveau est capable de voir, de ressentir (lors des EMIS les sens sont conservés) car la conscience c’est le vide qui capte les mouvements de matière qui engendrent des vibrations infimes. La conscience est hors du temps car l’espace et la conscience sont la même chose. L’intention qui va exciter ce vide (la représentation d’une scène future) générée par son âme et non par son mental va émettre des vibrations qui va générer la matérialisation. L’âme et la conscience sont l’interface entre l’esprit et la matière. La matière (conscience cellulaire), la conscience de l’égo et du mental (temps présent), l’âme et l’esprit. L’esprit est le principe sans forme qui est la source de la conscience. L’âme est la mémoire de toutes les vies vécues. Elle réside de l’autre côté dans un autre versant de l’univers (Jean-Pierre Petit et son modèle Janus). Le multivers du versant de l’âme possèderait toutes les possibilités de tous les temps qui ont été vécus et qui ne sont pas effacés. Le modèle de Philippe Guillement est un univers cyclique où les 2 versants sont couplés (trou noire et trou blanc). Nous vivons dans une réalité de causalité car c’est une cocréation collective nous où nous sommes tous la même conscience qui créons la même réalité. On parle d’âme mais il ne faut pas oublier que nous sommes tous issus de la même source. Nous pouvons appelons esprit dieu mais il reste individuation (non individualité) car il n’y a pas de séparation (l’autre est nous). Nous avons quand même une âme qui mémorise la conscience individuelle. L’esprit choisit la destination et l’âme choisit le trajet de notre GPS avant notre incarnation. Le Soi est investi de l’intention de l’esprit. L’âme, elle, ce qui l’intéresse c’est l’expérience car elle a besoin d’évoluer, de grandir pour pouvoir monter dans la création, ce qui l’intéresse c’est l’expérience. Les 2 raisons à l’incarnation sont l’apprentissage et la mission. Beaucoup de gens n’ont pas de mission car seule l’apprentissage est utile. L’apprentissage c’est le trajet du GPS relié à l’âme alors que la mission c’est la destination du GPS relié à l’esprit. Cette dualité n’en est pas une car ce sont les 2 faces reliés à une même pièce car l’âme et l’esprit sont la connaissance et l’amour. L’esprit c’est aussi le mental et l’émotionnel. L’esprit a une connaissance qui lui permet d’avoir une intention. L’âme quant à elle, a l’amour. Amour et connaissance sont les 2 principes qui doivent rester équilibrés car pour que l’amour puisse se réaliser dans la matière il faut beaucoup de connaissances et si on a beaucoup de connaissances et très peu d’amour on va vers le transhumanisme. Il faut un équilibre entre la connaissance et l’amour qui sont les 2 principes transcendants qui correspondent à l’âme et l’esprit et qui déterminent notre futur à tout moment. On a quand même le libre-arbitre car rien ne peut prévoir un trajet optimal car imaginer connaitre d’avance ce trajet c’est oublié le but et la difficulté de l’incarnation. Le Soi qui représente notre individuation, qui intègre à la fois l’âme et l’esprit, l’objectif de l’esprit et l’apprentissage de l’âme, ne peut pas décider à notre place. L’âme doit être libérée des actes de l’esprit pour évoluer (loi de causalité ou karma). Le pouvoir du mental est que nous sommes créateurs c’est le pouvoir de la conscience incarnée. Mais créer sans connexion à notre âme est un leurre car seule la connexion à notre âme permet la loi de l’attraction.
par Sonia Valognes 23 mars, 2023
Les 7 corps subtils / glandes / centres énergétiques (chakras) Nos corps subtils, que l’on nomme également corps énergétiques, correspondent à 7 enveloppes d’énergie recouvrant et entourant notre corps physique. Chaque corps subtil possède sa fréquence vibratoire propre. Plus le corps subtil est éloigné du corps physique, plus sa fréquence vibratoire est élevée. Ils s’influencent les uns les autres et interfèrent sur le physique, au niveau de notre santé car ils correspondent avant tout à des glandes, mais également sur notre manière de réagir aux situations, sur nos expériences : • Le corps Physique / Surrénales / Racine : Il est la manifestation la plus dense des autres plans de conscience. Il permet à la conscience d’expérimenter et de ressentir. Il est le véhicule de l’âme. C’est le réceptacle des corps subtils, un lieu d’évolution spirituel, un temple. Il est en lien avec le 1er chakra, que l’on appelle chakra racine, qui se trouve au niveau du périnée et nous relie à la matière, à la Terre. • Le corps Ethérique / Gonades / Sacré : Il enrobe le corps physique comme une fourrure. Il est le support des chakras et des flux énergétiques et assure la protection du corps physique au travers des défenses immunitaires. Plus il est épais et efficace, plus nous nous sentons en forme. Si le corps éthérique est perturbé, cela peut donner lieu à une dispersion d’énergies. Le corps éthérique entoure le corps physique et en même temps déborde sur le corps suivant, il reflète notre état de santé. C'est le plus dense des corps subtils. • Le corps Emotionnel (ou corps Astral) / Pancréas / Solaire : Il s’agit de la part de l’être qui est rattachée aux émotions, aux désirs et aux ressentis. Il les stocke jour après jour, sans filtre, sans tri et sans jugement. Les blocages et dysfonctionnements émotionnels s’y logent avant de se manifester sur le plan physique. Le corps astral est le siège de nos émotions, il est en lien avec le 3ème chakra, que l’on appelle plexus solaire qui se trouve sous le diaphragme au niveau de l’estomac. • Le corps Mental / Thymus / Cœur : Reflet de notre personnalité, ce corps est animé par nos pensées, nos idées et nos croyances (conscientes ou inconscientes). Il réfléchit, calcule, examine et nous permet de prendre des décisions et de trouver des solutions à nos problèmes. Le corps mental est fortement influencé par le corps émotionnel, il est le siège de l’intellect, de nos réflexions, de la raison, il peut exprimer la personnalité, l’égo, il est en lien avec l’intuition, les idées innées et créatives. Il est en lien avec le 4e chakra, le cœur qui se trouve au milieu du sternum. • Le corps Spirituel (ou corps Causal) / Thyroïde / Laryngé : Il correspond à la part divine qui se trouve en chacun de nous. Il se compose notamment du corps causal (super-mémoire qui enregistre toutes les expériences vécues dans notre vie actuelle et nos vies antérieures) et du corps atmique. On y lit également le but et l’objectif fixé pour notre vie. Il est en lien avec le 5e chakra, qui se trouve au niveau de la gorge. • Le plan Bouddhique / Hypophyse / 3ème œil : C’est le niveau de conscience supra mental qui régit les connexions et les relations entre toutes choses, véritable ordinateur central qui gère le tout. A partir de ce corps nous sommes en contact avec l’évolution spirituelle de l’Être. Le corps bouddhique est le siège de la connaissance totale, et de la conscience du "Tout Sacré". C’est le siège de la conscience qui permet de faire preuve de détachement. Il est en lien avec le 6e chakra, qui se trouve au milieu du front, au-dessus des yeux. • Plan Divin (ou plan Atmique) / Epiphyse /Couronne : Il est la conscience de l’unicité, le programme de l’ordinateur central. Le corps atmique, dit corps Christique, est le siège de la conscience cosmique également appelé corps Divin. La fusion entre le corps atmique et le cœur permet de ressentir l’Amour Inconditionnel et la Compassion. Il est en lien avec le 7e chakra, qui se trouve au sommet du crâne.
par psychologue.net 13 janv., 2023
Nous avons tous des aspects de notre vie où nous évoluons sans effort et d'autres domaines qui stagnent. Les blocages émotionnels sont l'une des raisons pour lesquelles il peut être difficile pour vous d'avancer dans certains domaines de votre vie. Les blocages émotionnels peuvent être difficiles à reconnaître et encore plus difficiles à résoudre. Cependant, vous pouvez les surmonter une fois que vous avez appris ce qu'ils sont, leurs symptômes et les techniques pour les guérir. « Les blessures émotionnelles sont des expériences douloureuses de l’enfance, qui forment notre personnalité adulte, ce que nous sommes et comment nous nous confrontons aux adversités de la vie.« Comment naissent les blocages émotionnels ? «Blocage émotionnel» est un terme couramment utilisé dans l’espace du développement personnel, mais que signifie-t-il réellement ? L'expression peut être définie comme des blessures émotionnelles refoulées ou non cicatrisées subies par des expériences de vie antérieures. Les émotions non traitées peuvent sembler inexistantes, mais leurs effets persistent, conduisant à des luttes avec certains domaines de la vie - tels que des problèmes d'amour ou d'argent. Les blocages émotionnels se produisent lorsque l'énergie résiduelle laissée par le traumatisme émotionnel reste submergée, étant constamment revécue à un niveau subconscient . Lorsque des émotions difficiles comme la colère, le ressentiment, la culpabilité et la tristesse sont réprimées et non guéries, les effets secondaires affectent le bien-être général en bloquant le flux d'énergie positive dans les domaines vitaux de la vie. En d'autres termes, les émotions bloquées conduisent à une énergie bloquée. Les 7 principaux blocages émotionnels Le blocage d'abandon : la peur de l'abandon est un blocage émotionnel courant. C'est ce sentiment de se sentir seul à l'intérieur alors qu'on est entouré d'un tas de personnes. Cela implique des difficultés dans sa vie active. Se libérer de ce blocage c'est ne plus ressentir ce sentiment de solitude désagréable. Le blocage de rejet : la peur de se faire rejeter par l'autre est aussi très courante. Ce blocage émotionnel fait qu'on se sent parfois à l'écart ou à part du groupe. Cela amène à parfois se mettre en avant, à prendre de la place alors que ce n'est pas notre réelle nature. Le blocage de dévalorisation : vous ne savez pas dire non, vous n'êtes probablement pas heureux dans un domaine de votre vie, etc. mais vous subissez car vous pensez inconsciemment que vous ne méritez pas mieux. "Je suis nul" est une croyance. Vous n'êtes pas conscient de votre valeur : penser qu’on est nul, qu’on ne mérite pas, qu’on n’est pas capable, pas digne du meilleur, qu’on ne sait pas, qu’on est jamais assez… Toutes ces croyances vous font passer à côté de ce à quoi vous aspirez vraiment. Le blocage d'injustice : êtes-vous quelqu'un de très sensible à la justice ? Ce blocage émotionnel amène à voir de l'injustice là où il n'y en a pas forcément. Vous montez alors souvent au créneau pour tenter de rendre justice et vous perdez en paix intérieure. Vous multipliez même des conflits, souvent inutiles. La crainte d'être agressé : avant même la naissance, si la maman a des contractions très fortes, le bébé peut ressentir cela comme une agression. Et en grandissant développer une peur de se faire agresser. La personne adoptera alors un tempérament sur la défensive. Elle partira souvent au quart de tour et prendra les choses personnellement. La libération de cette mémoire va aider la personne à se sentir plus confiante. La culpabilité d'exister : culpabilité à se montrer ou souci de se faire oublier, d'être transparent. Vous vous sentez illégitime d'être sur cette terre, de vivre. L'adulte développe alors le fameux "je ne mérite pas..."·. Ce blocage entraîne un auto-sabotage... Le blocage de non-reconnaissance : il est fort probable qu'enfant, vous ayez eu l'impression qu'on ne s'occupait pas suffisamment de vous, et c'est ainsi que vous avez développé cette mémoire émotionnelle de non-reconnaissance. Vous allez donc rechercher inconsciemment la reconnaissance des autres, et ça va même parfois ou souvent se sentir. Se libérer de ce blocage, c'est enfin agir par soi-même. Pourquoi les blocages émotionnels doivent être guéris ? Les blocages émotionnels peuvent être difficiles à reconnaître car un nombre important de blocages émotionnels résultent d'événements survenus à un âge trop jeune pour se souvenir et / ou d'expériences si traumatisantes qu'elles ont été réprimées et oubliées. Cependant, parce que la cause des blocages émotionnels reste à l'arrière-plan de notre conscience, cela signifie parfois que leurs effets persistent. Les blessures émotionnelles non cicatrisées façonnent les perceptions et les comportements à l'âge adulte. Les blocages émotionnels apparaissent de manière évidente et pas si évidente . Connaître les symptômes peut nous aider à reconnaître les blocages émotionnels dans nos vies. Les symptômes courants des blocages émotionnels sont des schémas inutiles ou négatifs, le sentiment d'être coincé au même endroit, une dépression constante, des tergiversations fréquentes sur le même problème ou thème et une consommation accrue d'alcool et de nourriture. De plus, les blocages émotionnels affectent le bien-être physique et peuvent même entraîner de graves problèmes de santé. Vous avez probablement entendu dire que des émotions douloureuses non résolues comme le deuil peuvent affecter la santé ; les expressions courantes comme «mourir d’un cœur brisé» l’indiquent. La douleur que notre corps endure en raison des blocages émotionnels s'ajoute aux nombreuses raisons pour lesquelles les blocages émotionnels doivent être traités et éliminés immédiatement. Tous les blocages émotionnels peuvent être libérés en douceur . Éliminez les blocages émotionnels grâce à la guérison énergétique Nos pensées sont énergie. Nos sentiments sont de l'énergie. Notre monde est énergie. La science prouve même que nos corps sont constitués de systèmes énergétiques. L'énergie électrique de notre corps est responsable du bon fonctionnement du cœur, du système nerveux et de chaque cellule du corps humain. Les courants d'énergie circulent à travers nous, mais les blocages énergétiques dus aux émotions non résolues ont tendance à perturber le flux, entraînant des schémas malsains et des maladies. En d'autres termes, les blocages émotionnels sont des blocs énergétiques . Et, éliminer les blocages émotionnels nécessite une guérison à la cause fondamentale - le niveau énergétique, afin de libérer les liens malsains avec les situations passées. Bien qu'il existe diverses modalités pour éliminer les blocages émotionnels, puisque nos corps sont des systèmes énergétiques, travailler avec un guérisseur énergétique peut résoudre les blocages émotionnels à la racine. Un grand avantage est que la guérison énergétique fonctionne avec un système qui constitue déjà la bouée de sauvetage de notre corps. Les guérisseurs énergétiques infusent de la lumière positive et de l'énergie dans les parties de nos champs énergétiques qui connaissent des déficits. Cependant, certains peuvent trouver douloureux de gérer les situations difficiles qui ont provoqué des blocages émotionnels. Lorsque des blocages émotionnels sont portés à l’attention d’une personne, certains choisissent d’éviter l’inconfort plutôt que de les guérir. La libération des blocages émotionnels est essentielle pour éliminer l'énergie stagnante et vivre la vie à son plein potentiel. Sans guérison, la croissance personnelle et spirituelle ne va pas plus loin. Lorsque nous guérissons notre énergie émotionnelle, nous augmentons notre capacité à mener une vie plus significative . Le résultat est une connexion plus profonde et des relations plus positives avec soi-même, les autres. Bien sûr, il existe d'autres moyens de vous libérer de vos blocages émotionnels, renseignez-vous auprès des thérapeutes pour savoir quelles techniques seraient le plus adaptées à vous.
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