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Vous ressentez des blocages émotionnels dont vous ignorez le sens ?  

Je vous propose de vous guider vers l'origine de vos résistances pour vous aider à vous en libérer et avancer avec plus de sérénité.


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par Sonia Valognes 25 octobre 2025
Certains d’entre nous portent un traumatisme issu de l’enfance, dont la charge émotionnelle a créé dans l’inconscient des mécanismes de défense, engendrés par un état de stupeur. Les émotions associées à ce traumatisme sont elles aussi bloquées dans le corps physique, sous forme d’énergie cristallisée, vivante et vibrante. A l’âge adulte, il n’est pas rare qu’un événement "de trop" survienne et vienne réveiller une fois de plus ce mécanisme, ce système et schéma bloquant répétitif, jusqu’à ce que le corps et l’esprit disent "stop". C’est un appel profond de notre âme qui émet alors un désir de sortir de cet espace emprisonnant, de libérer ce blocage émotionnel, physique et énergétique, afin de pouvoir laisser émaner notre lumière et notre plein pouvoir. Nous vibrons certaines parts inconscientes de nos blessures, dont la blessure du rejet. Prenons exemple d’une personne qui souhaite sortir d’un schéma répétitif amoureux dans lequel elle se positionne en tant que victime, de "l’autre". Cet autre que notre inconscient a choisi et sélectionné. Le conscient se dit sincèrement amoureux en choisissant inconsciemment un amour à sens unique, simplement pour revivre à l’infini cette blessure de rejet, qui est avant tout, le rejet de soi-même. La solution ? Reprogrammer son inconscient pour libérer ce désamour de soi et sortir enfin de ce schéma répétitif. La personne qui rejette porte en elle et vibre aussi la blessure de rejet. Cette vibration permet à chacun de rejouer cette scène jusqu’à l’acte final. C’est une vraie souffrance partagée qui ne peut s’arrêter qu’avec un profond travail sur soi. Il est nécessaire de mettre en lumière l’origine de ce mécanisme, à quel moment (majoritairement dans votre enfance et avec le schéma parental) s’est imprimée dans votre inconscient cette blessure comme étant une référence. Si nous sommes honnêtes avec nous-mêmes, « nous savons que nous savons ». Notre corps nous parle, nous informe, nous alerte en permanence en nous faisant surréagir face à certaines situations. Porter son attention sur ses ressentis corporels nous donne des informations précieuses sur notre part inconsciente qui s’exprime, à travers lui, lorsque le mental est en incapacité de poser des mots sur les maux. Notre difficulté à accueillir ces messages nous informe sur la façon dont nous sommes coupés de nos émotions (donc de nous-mêmes) et sur notre résistance car plus nous résistons, plus nous souffrons. Nous sommes libres de choisir de vouloir reprogrammer notre inconscient. En identifiant la source, vous allez consciemment décider de vous en libérer et avancer avec conscience et sérénité sur le chemin du pardon (à soi-même) et donc de la résilience. A travers la Guidance Energétique, je propose d’aller explorer cette part inconsciente, cette résistance au changement. En la nommant, en la reconnaissant, nous pouvons ainsi libérer la charge émotionnelle stagnante, amener à la conscience la pensée limitante pour permettre à la personne de reprendre petit à petit son pouvoir intérieur et ainsi avancer avec plus de sérénité. En se libérant de la culpabilité d’être soi, de la peur d’aimer, d’être aimé, c'est accepter d'exister, c'est s’accepter enfin tel que nous sommes…parfaitement imparfait. « Tout ce qui ne s’exprime pas s’imprime dans le corps » J. Salomé
par Sonia Valognes 25 novembre 2024
Faire taire ses émotions fait naître très tôt ce que je nomme le « mécanisme du deuil de soi », qui consiste à se placer systématiquement en retrait, en second plan, voire à un plan inexistant, dit « sacrificiel ». Le message qui se cache derrière est « je n’existe pas », « je n’ai pas ma place » et sous le silence, il y a bien souvent un sourire affiché en toute circonstance, qui cache une profonde souffrance intérieure. Cet état peut durer très longtemps car l’image première que la personne cherche à renvoyer pour ne pas être confrontée à ce gouffre abyssal, c’est le masque idéal de : la mère/le père courage, l’épouse/l'époux dévoué(e), la fille/le fils obéissant(e) en toute circonstance, nourrissant le "lien de loyauté". Pourtant, des détails sont semés tout au long de son chemin de vie comme des changements d’état imprévisibles : passer de la motivation absolue à la perte d’envie soudaine, passer du déterminisme le plus total à l’abandon le plus profond. L’expression de soi Exprimer ses émotions est si nécessaire et si riche à la connaissance de soi ! Ne pas connaître son propre fonctionnement intérieur équivaut à avancer sur un fil, à errer sans recul sur soi, sur ses propres expériences et à laisser ses schémas bloquants se répéter indéfiniment. Et puis un jour, bien souvent c’est le corps qui dit stop ou la déception de trop, qui traduit « encore ? Mais pourquoi ? Pourquoi ai-je tant de mal à trouver ma place ? Qu’est-ce qui se passe en moi qui me pousse à nouveau dans ce positionnement ? ». Fatigué(e), lassé(e), on lâche prise et on accepte enfin que l’on peut aussi avoir besoin d’un accompagnement adapté et que cela ne signifie être en échec, bien au contraire, c’est avoir le courage de faire face à soi-même avec l’envie d’un réel changement. Et le travail peut enfin commencer, avec tout ce que cela implique. Accepter de faire ressurgir nos parts d’ombre mais aussi et surtout laisser émerger la lumière en nous, la vraie, l’authentique, celle qui ne se négocie pas mais qui s’impose à soi. La "re-naissance" à soi Dans cet accompagnement, la culpabilité est souvent présente « Quoi ? tu t’es plaint(e) de l’abandon, du rejet ? Mais n’as-tu pas agi ainsi toi aussi, à commencer par l’abandon de toi-même ? ». Certes, ce sont des schémas inconscients que la personne reproduit, mais les actions sont pourtant bien réelles avec des répercussions elles aussi bien concrètes. S’avouer que oui, nous aussi nous avons fait souffrir l’autre parfois. On prend alors conscience de sa propre souffrance car cet accompagnement nous met aussi face à nos responsabilités, à la souffrance que nous nous sommes nous-mêmes infligée et par ricochet, aux autres également. Alors, commence enfin le travail du pardon, à soi-même pour commencer, difficile à envisager mais si nécessaire pour avancer sur le chemin initiatique de la résilience et de la « re-naissance à soi».
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